D’un côté une jeune science, les SIC, qui sont en quête de leur identité, d’un paradigme fondateur, qui cherchent leur place sur le marché des savoirs et qui revendiquent la possibilité de travailler sur les clôtures et interfaces avec les autres disciplines. D’un autre côté le sport avec le développement d’un véritable marché, notamment celui de l’équitation, qui se trouve confronté à de multiples mutations et qui ne demande qu’à être investi, revisité par des théories originales et porteuses d’espoir. Perpétuant ou devançant l’évolution des mentalités, le sport, où régnait l’image de la domination, va-t-il développer son image sur la communication ? Pour étendre ce bien-être sportif aux interrogations hygiéniques, morales, motrices, le sport va-t-il rajouter une orientation sur la communication, qu’elle soit interpersonnelle, dans les groupes ou par et dans les machines à communiquer. Les SIC peuvent-elles aider les cadres sportifs à s’autotransformer pour traiter les informations et maintenir leur niveau de conceptualisation, de prospection et d’anticipation dans ce monde en évolution ?